Lorsqu’un envoi a été confié aux services postaux et s’est retrouvé à un moment déchiré ou abîmé dans les locaux de l’administration, celle-ci reconditionne l’objet.
Soit le courrier peut encore circuler en l’état, dans ce cas l’administration applique une bande de fermeture destinée à cet effet et un agent « répare » donc le courrier avant de le remettre pour distribution ; soit ce courrier est trop abîmé et dans ce cas, un préposé place d’abord ce courrier accidenté dans une enveloppe spéciale.
Ce fut le cas ici :
Libourne, 16 septembre 1924 pour le consulat de Suisse à Bordeaux.