Décidément les surcharges actuelles (en deux coups d’imprimante ou autre) sont des outils utilisés à toutes les sauces. Pour preuve cette vente vue récemment et signalée :
Tiré à 500 exemplaire seulement le 26 août 1920, ce timbre est composé d’une surcharge appliquée sur le n° 140 disponible à cette date. Il s’agit OBLIGATOIREMENT du type 1A, les autres types n’étant pas encore en vente. Par ailleurs, un tel timbre oblitéré est encore plus rare que neuf et le cachet de Castellorizo n’a rien de comparable à ceux que le timbre scanné laisse voir. Pour finir, les gens du navire « La Provence » où a eu lieu la surcharge n’avaient pas les moyens d’une très grande qualité de surcharge : celle ci est pâle, avec des blancs la plupart du temps (et avec un S/Z inversé!). Voici trois raisons, chacune étant suffisante en soi, mais la première absolument incontournable pour signifier que l’exemplaire mis en vente est en fait un faux pour tromper les collectionneurs.